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accueil actualité catalogue/commande où ? quand ? la presse contacts accueil bonjour nous sommes au regret de vous annoncer que la liquidation de la scop a été prononcée le 27 mars dernier, faute de fret suffisant permettant la viabilité de l’entreprise. ainsi, la scop dépose ses bilans : dépôt de bilan carbone la petite péniche avec son petit moteur 2 temps diesel général motors de 160ch consommait 760 l de gazole et émettait 2010 kg eq co2 (kg équivalent co2) pour effectuer un aller simple valence-paris, soit 765 km de parcours. sur ce même parcours, un camion consomme 1200 l de gazole et émet 3160 kg eq c02. ainsi, sur ce trajet, le transport fluvial permettait d’économiser 440 litres de carburant et 1 150 kg eq co2, soit : des émissions de co2 divisées par 1,6 et des consommations en carburant divisées par 1,6. elle ne créait pas de nuisances sonores : nous pouvions observer des animaux, les hérons profitaient de notre passage pour guetter et chasser les poissons des rivières et des canaux. elle n’écrasait pas d’animaux. elle donnait le sourire aux riverains lorsqu’ils la voyaient passer doucement. dépôt de bilan moral la petite scop a suscité un capital sympathie de très nombreuses personnes qui ont été de près ou de loin sensibles à l’action directe entreprise par ses dirigeants : tenter de créer une alternative au « tout routier » en proposant une logistique fluviale entre la vallée du rhône et paris, transportant de la marchandise palettisable et non périssable, en l’occurrence du vin et des produits du terroir. les producteurs et les personnes ayant choisis ce mode de transport innovant étaient tous des militants proposant des produits bio, cultivés de manières réfléchies et raisonnées. dans les soutiens à l’, nombreux ont participé financièrement à la mise en place du projet et/ou à sa continuation, nombreux sont venus nous aider sur le bateau, nombreux se sont tenus informés des épreuves traversés, des espoirs, des réussites et des échecs, nombreux se sont impliqués dans le fonctionnement, nombreux nous ont soutenus dans les moments difficiles, nombreux ont crus autant que nous au bon sens de cette proposition et nombreux sont tristes d’assister à la fin de cette aventure sans pouvoir changer le cours de l’histoire. dépôt de bilan financier quatre années de création, trois années d’exploitation, 250 000 euros d’investissement, trois bilans déficitaires, deux procès perdus faute d’esprit procédurier, quatre-vingt pour cent des éventuels clients ayant répondus positivement à l’étude de marché n’ont finalement jamais osé utiliser le transport fluvial, 90 000 euros de dettes à l’instant « t », un énorme espoir de remplissage du bateau par une grande firme bio tombé à l’eau à cause du coût et du temps de transport, des contrats difficiles à renouveler, un marché impossible à créer, le flux tendu trop tendu, des engagements inexistants (vnf, le ministère des transports et de l’écologie), un pays qui n’ est pas encore en transition, l’essence pas encore assez chère, le monopole routier sur le transport de marchandise, le mauvais entretien du réseau fluvial, le réchauffement climatique et ses épisodes de crues enchainant des épisodes de sécheresses, l’impossibilité d’avoir accès à des quais. pour éviter de rester sur une note trop négative, nous vous invitons à rentrer en contact avec denis robert, du gaec du mas d’intras à valvignères 07, qui de son côté continue le combat et crée « fleuve de liens » pour donner un avenir prometteur à cette merveilleuse expérience. on vous dit à bientôt donc, sur l’eau ou tout à côté ! cécile et raphaël en janvier et février 2018, l’ sera dans le bassin de confluence à lyon 2°, quai arlès dufour. du mercredi au samedi ventes au bateau des produits du terroirs transportés par péniche et assiettes “découvertes”. uniquement sur réservation au 06 86 71 34 73 ou 06 76 94 52 57. transformation de la scop en scic, une nécéssité, une réalité sur l’eau, je transporte doux, je transporte tout galerie de photos transport fluvial et distribution urbaine : un but à atteindre le « plus » à qui nous adressons-nous? origines du projet et réflexions nos principaux avantages sont présentation de notre péniche , 39 m x 5m, équipée spécialement pour répondre aux spécificités du transport du vin notre offre trajet sud-nord trajet nord-sud « label de transport vert » le bateau vivre le bateau évènement culturel, privatisation mentions légales et partenaires mentions légales nos partenaires « conscients de la réalité environnementale et commerciale du transport actuel, notre démarche « intuitée » par des valeurs auxquelles nous sommes profondément attachés : le respect de la nature et de ses productions (le vin), l’écologie, la convivialité, l’humanisme, nous comptons « mener notre barque » avec notre savoir être en se positionnant comme artisans bateliers privilégiant les rapports humains où le choix du métier de marinier prend tout son sens : ne rien brusquer. « tout ce qui est exquis mûrit lentement. » arthur schopenhauer. le bateau vivre et notre sensibilité artistique mettront en valeur les vins par des mises en scène lumineuses et poétiques. notre ambition : être plus qu’un pinardier, plus qu’un transporteur, nous voulons apporter une plus-value humaine et artistique à une activité commerciale millénaire, montrer la beauté du vin, faire découvrir sa sensualité et sa saveur. nous sommes fiers de pouvoir contribuer à ancrer les valeurs du respect de la nature et des hommes et de promouvoir des produits du terroir issus d’une agriculture biologique dans le cadre d’une pratique commerciale ciblée. » cécile et raphaël. le transport fluvial éco-responsable de vin embouteillé * est une scop de transport fluvial éco-responsable de bouteilles de vins de qualité. il s’agit d’une activité innovante proposant une ligne régulière entre la vallée du rhône et paris. la cale du bateau, isolée et climatisée, nous permet d’offrir un transport de qualité. ce moyen de transport, bien que millénaire, est tombé en désuétude, remplacé au fil des ans par le transport routier. aujourd’hui, face aux enjeux environnementaux nous offrons la solution pour limiter considérablement l’empreinte carbone du transport : une péniche émet 40 fois moins de pollution atmosphérique qu’un camion et consomme jusqu’à 4 fois moins de carburant. * l’ est un colorant rouge d’origine végétale, extrait de la racine de la garance des teinturiers (rubia tinctorum l.), une plante vivace de la famille des rubiacées, autrefois largement cultivée pour la teinture qu’elle fournissait. retour au sommaire. le « plus » le bateau-vivre est un espace accueil public sur la péniche, permettant la mise en vitrine et la vente directe des vins transportés et de produits régionaux sélectionnés et offre la possibilité d’organiser des évènementiels, dans un cadre et un lieu propice à la découverte et à la convivialité. retour au sommaire. à qui nous adressons nous ? les producteurs de vins de la vallée du rhône, de bourgogne, de champagne, de la marne, de la loire. les restaurants, bars, bistrots, brasseries riverains des fleuves et canaux. les négociants en vin, champagnes, bières et spiritueux. les groupements de producteurs (région et département produisant du vin, coopératives, réseau de vignerons bios…) les cavistes. les groupements d’achat en produits bios (magasins, boutiques). les particuliers. les amap. retour au sommaire. origine du projet et réflexions la problématique du transport routier du vin : empreinte carbone massive, secouage mécanique du vin, image négative du camion, pas de garantie de la maîtrise de la température pendant le transport les possibilités offertes par le transport fluvial : faible impact carbone, pas de vibration, vin bercé, fiabilité, contrôle de la température et image authentique, naturelle et positive le maillage du réseau fluvial qui traverse judicieusement les plus grandes régions viticoles la plus-value apportée par ce moyen de transport en terme de dév